LES LEGIONS IMPERIALES D'ALVARETH
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KARAGAN
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Enigmes Empty Enigmes

3/10/2005, 20:54
Un son suffit pour me briser .
le silence.
On ne peut ni la voir ni l'entendre, ni la toucher ni la sentir . Elle gît entre les étoiles et sous la surface des planètes. Les trous vides, elle les remplit; elle tue les rires et termine la vie.
l'obscurité.
Je vole, mais n'ai pas d'ailes. Je vois, mais n'ai pas d'yeux.
Je galope, mais n'ai pas de pattes.
Plus féroce qu'une bête fauve, plus puissante que l'ennemi, je suis rusée, implacable et immense.
Au final je règne sur tout et tous.
L'imagination.
Qu'est-ce qui construit des châteaux, abat des montagnes, en aveugle certains, en endort d'autres ?

Le sable.
On entend mon tonnerre avant de voir mon éclair; ma pluie asséche le sol.

Un volcan.
Alive without breath, As cold as death . Never thirsty, ever drinking, All in mail never clinking.
Un poisson
Donnez-moi à manger ,je vis . Donnez-moi à boire, je meurs .

Le feu.
Un coffre sans couvercle, charnières ni serrure . Pourtant à l'intérieur se chache un trésor doré.

Un oeuf.
Sa présence montre souvent l'absence.
Mordue, elle laisse un goût amer.

La poussière.
C'est plus grand que Dieu, pire que le diable.
Les pauvres en ont, les riches en ont besoin.
Si on en mange, on meurt.

Rien.
Un noir habillé tout en noir traverse une rue. Il n'y a aucun lampadaire allumé.
Une voiture arrive et quand il traverse, elle s'arrete.
Comment fait-elle pour le voir ??

Il fait jour.

2 pères et 2 fils sont a une table, sur la table, il y a 4 pommes, chacun mange une pomme et pourtant il en reste 1, pourquoi ?

Le grand-père , le père et le fils.
Je marche en restant immobile, je m'arrête sans avoir bougé; bien que jamais je ne descende, il faut toujours me remonter. Qui suis-je?
Une pendule (horloge).
1 - comment faire 4 triangles equilateraux avec 6 allumettes ?
2 - comment faire 6 triangles equilateraux avec 6 allumettes ?
3 - comment faire 8 triangles equilateraux avec 6 allumettes ?
(Ps : de même taille.)
un peu d'aide :
1 - il faut penser differament
2 - il faut penser comme avant
3 - la reponse n'est qu'une illusion de la réalité
1 Pyramide, 2 étoile de david, 3 pyramide devant miroir.
Qui voyage jour et nuit sans quitter son lit ?

Une rivière.
Une pierre blanche tombe dans une mer noire.
La mer tourbillone, l'amer devient doux, la pierre disparaît.
Un sucre dans le café.
Un jardinier a dix arbres. Il veux construire 5 rangée de 4 arbres, avec ses dix arbres. Bien sur, il peut réutiliser plusieur fois un arbre.
Disposer en pentacle.
J'ai toute mes feuilles en janvier, mail une seule en décembre.
Un(e) éphéméride.
On m'apercoit au debut de la nuit et a la fin du matin, on me trouve deux fois dans l'année et on me voit dans la lune. Je me trouve dans les étangs et les jardins.
La lettre n.
Sans moi s'effondreraient les cathédrales
Je suis la solution
Pour m'élever depuis le sol
Et atteindre le paradis

La clef.
Je suis, je ne suis plus, j'étais et je vais être
Veut-on me retenir, je suis mort pour jamais
Mais pour jamais aussi je suis prêt à renaître
Je meurs toujours, et toujours je nais.

Le temps.
Celui qui le fabrique ne le garde pas
Celui qui l'achète ne s'en sert pas
Celui qui s'en sert ne le sait pas

Un cercueil.
Voici une suite, a vous de me dire le prochain terme de cette suite :
1-11-21-1211-111221-312211-13112221-1113213211-...

(lire les chiffres à haute voix) donc 31131211131221

Je me cache pour ne pas l'être,
J'avance tranquillement,
Malheureusement mon compte y est.

à découvert.
Je suis sourd mais je peux entendre
Je suis aveugle mais je peux voir
Je suis muet mais je peux parler
Le cerveau.
il avance mais n'a pas de jambes
elle boit mais n'a jamais soif
elle mange sans jamais être rassasiée
il chante sans jamais s'éssouffler

Feu, Eau,Terre,Vent.
Cinq voyelles, une consonne
En français compose mon nom
Et je porte sur ma personne
De quoi l'écrire sans crayon.

Oiseau (plume).
Parfois je suis fort,
Parfois je suis faible.
Je parle toutes les langues
Sans jamais les avoir apprises.
L'echo.
Je ne suis jamais loin de mon autre jumelle
On m'associe souvent au parfum vomitif
D'une partie du corps qui n'est pas vraiment belle
Située fort loin de l'organe olfactif
Une chaussette.
J'ai quatre dents mais je ne mords pas.
Quand par hasard, j'attrape quelque chose,
Un goinfre me l'enlève aussitôt.

Une fourchette.
Celui qui en fait ne le dit pas
Celui qui en prend ne le sait pas
Celui qui le sait n'en prend pas.
La fausse monnaie.
Nous sommes deux soeurs,
nous sommes fragiles,
mais à nous deux,
nous pouvons faire disparaître le monde.

Les paupières.
Devine moi car j'en suis digne :
Je me cache lorsque je sers
C'est presque toujours dans les vers
Et l'on me trouve à chaque ligne.

Un hameçon.
Qu'est-ce que nous ne pouvons voir,
Mais qui est toujours devant nous?

L'avenir.
Il dévore toutes choses,
Oiseaux, bêtes, arbres, fleurs.
Réduit les dures pierres en poudre,
Met à mort les rois, détruit les villes,
Et aplatit les plus hautes montagnes.

Le temps.
Je fus demain, je serai hier
Aujourd'hui.
Je suis le blé et le sel de la terre
Je peux compter le temps
Sombrer dans la folie
Ou tomber en poussière.

Un grain.
Je suis ce que je suis,
mais je ne suis pas ce que je suis,
car si j'étais ce que je suis,
je ne serais pas ce que je suis.

Un berger qui suit ses chèvres.
Couchée avec mes soeurs
J'ai la tête rose ou rouge
Quand on me frotte j'ai la tête blanche et jaune
Et ensuite, j'ai la tête noire

Une allumette.
On se jette souvent sur ce qui s'y trouve.
Quand on s'y trouve, c'est qu'on est à l'aise
Quand on la trouve, c'est l'équilibre
Qu'est-ce que c'est?

L'assiette.
Du repos des humains implacable ennemie
J'ai rendu mille amants envieux de mon sort
Je me repais de sang et je trouve ma vie
Dans les bras de celui qui recherche ma mort
Une puce.
Enfant de l'art, enfant de la nature,
Sans prolonger les jours, j'empêche de mourir ;
Plus je suis vrai, plus je fais d'imposture,
Et je deviens trop jeune à force de vieillir.
Un portrait.
Je suis le fléau de l'humanité,
D'autant que ceux qui m'ont croient avoir mon contraire.

La bêtise.
Je n'ai pas de visage mais on peut me maquiller.
Peu me connaissent, beaucoup m'ignorent.
Je fais couler le sang, pourtant, je suis ce qu'il y a de plus pur.
Je suis unique et universelle
La vérité.
Il abat les rois,
Fait tomber les reines,
Renverse leurs peuples.
Pourtant il est le champion de l'amour...
L'as de coeur.
C'est une chose dont on ne veut pas , mais qu'on ne veut pas perdre.

La guerre.
Je ne supporte pas le soleil, mais je disparais dans l'obscurité

Une ombre.
Je me déplace, mais n'ai pas de corps
Je peux mordre, mais n'ai pas de dents
Je peux siffler, mais n'ai pas de bouche

Le vent.

Il en faut une pour en faire deux;
Il en faut deux pour en faire des milliers.
Les moines en ont, les photographes s'en servent.

Une cellule.
C'est un perpétuel murmure, profond et grand et son sein
Dans les cieux azur, rouge est le matin
Royaume du silence, sa frontière est l'horizon
Toujours il se balance, qu'il y ait guerre ou non
L'océan.
Je ne suis qu'émeraudes et diamants
Si la lune me perd, le soleil me retrouve et me boit vivement
La rosée.
Si on leur marche dessus vivantes, elles ne disent rien.
Mais si elles sont mortes, elles pousseront des cris.
Des feuilles tombées de l'arbre.
Qui a quatre pattes le matin, deux à midi et trois le soir ?

L'être humain.
Où trouve-t-on des rivières sans eau, des forêts sans arbres et des villes sans maisons ?

Sur un atlas.
Qu'est-ce qui vit en hiver, meurt en été et pousse les racines en l'air ?

Un glaçon.
Même si je n'ai pas le bonheur de vous plaire
Je n'en serais pourtant pas autrement surpris
Car vous auriez, ami lecteur, et beau dire et beau faire,
Jamais je ne serais un jour de votre avis ;
Même en me renversant, je vous en avertis,
Vous ne me feriez pas changer de caractère.

Non.
Dans un tunnel de ténèbres se tapit une bête de fer
Elle ne peut attaquer qu'une seule fois

Une balle dans le canon d'une arme.
Otez moi une lettre,
Otez-m'en deux,
Otez-les toutes,
Je reste toujours le même.

Le facteur.
Je vais très vite et pourtant je n'ai ni jambes ni ailes.
Vous aurez beaucoup de mal à vous mesurer à moi,
Mais si vous y arrivez, cela fera beaucoup de bruit.
Vous voulez me saisir ? Impossible.
Me voir ? Je suis invisible.

Le son.
Tout paraît renversé chez moi
Le laquais précède le maître
Le manant passe avant le roi
Le simple clerc avant le prêtre
Le printemps vient après l'été
Et même la mort vient avant la vie

Un dictionnaire.
Je viens sans qu'on y pense
Je meurs en ma naissance
Et celui qui me suis
Ne vient jamais sans bruit.
Un éclair.
L'histoire indique cette période comme importante en france.
La terre le fait 365 jours par an.
Ce terme est aussi utilisé dans les technologies du futur.
La révolution.
Je suis fine et brillante
Mon corps est gracieux
Quand j'écarte les jambes
J'écarte aussi les yeux
Une paire de ciseaux.
Par 500 il commence,
par 500 il s'achève,
5 est son centre,
la première des lettres,
et le premier des chiffres le comblent,
décodez les, mélangez les,
vous découvrirez le nom d'un monarque antique...

DAVID (chiffres romains).
Plein de trous, je retiens l'eau. Qui suis-je ?

Une éponge.
Je suis le début de l'éternité,
La fin de l'espace,
La naissance de chaque espèce,
La mort de toute race.

La lettre "e".
Quand est-ce qu'une porte n'est plus une porte ?

Quand elle est hors de ses gonds
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